🔄

Votre panier

Votre panier est actuellement vide.

Découvrez notre boutique :

Bottled Water in Plastic: A False Solution for Quality Water

Eau en bouteille en plastique : une fausse solution pour une eau de qualité

Pendant longtemps, l’eau en bouteille a été perçue comme la solution “sûre” face à l’eau du robinet : plus pure, mieux contrôlée, plus saine.
Mais ces dernières années, la confiance s’effrite et ce n’est pas un hasard.

Entre la présence de microplastiques, les doutes sur les conditions de stockage, l’impact environnemental massif et de nouvelles données sur la migration de particules issues du PET recyclé, il devient de plus en plus clair que les bouteilles ne sont pas synonymes de pureté.
Elles pourraient même être l’un des plus grands vecteurs de contamination invisible. 


Pourquoi alors avons-nous fait confiance à l’eau en bouteille ?

L’argument de l’eau en bouteille est simple : une eau “protégée”, mise en bouteille à la source, supposément à l’abri des contaminations du réseau. Pendant des années, cela a suffi à convaincre.

Sauf que les outils d’analyse ont évolué. On est aujourd’hui capable de détecter des particules de quelques micromètres, et ce que l’on trouve dans les bouteilles est loin d’être rassurant.

Selon une étude Zenith Global 2024, 42 % des consommateurs européens déclarent faire moins confiance qu’avant à l’eau en bouteille. Pourquoi ?

Parce que la plupart des analyses récentes montrent que les eaux embouteillées contiennent plus de microplastiques que l’eau du robinet.

 

Microplastiques : quand la bouteille contamine son propre contenu

Une étude publiée dans Frontiers in Chemistry a analysé 259 bouteilles issues de 11 marques, dans 9 pays :
93 % des échantillons contenaient des microplastiques, avec une moyenne d’environ 325 particules par litre, et des pics à plus de 10 000 particules par litre pour certaines bouteilles. 

La majorité de ces particules provenait… du plastique de la bouteille et du bouchon lui-même.

En parallèle, des synthèses de la Food Packaging Forum confirment que la présence de microplastiques dans l’eau en bouteille est désormais considérée comme généralisée.

Une étude relayée récemment par le New York Post indique même qu’un simple changement d’habitude (passer de l’eau embouteillée à l’eau du robinet filtrée) pourrait réduire l’ingestion annuelle de microplastiques d’environ 90 000 à 4 000 particules, soit une baisse proche de 90 %.


PET et PET recyclé : quand le contenant fait partie du problème

Les bouteilles d’eau sont principalement fabriquées en PET (polyéthylène téréphtalate).
Ce matériau n’est pas neutre : des composants peuvent migrer vers l’eau, notamment l’antimoine (utilisé comme catalyseur lors de la fabrication) et d’autres molécules de faible poids moléculaire.

Et pour le PET recyclé (rPET) utilisé pour ses qualités environnementales, pourrait augmenter la migration de microparticules et d’additifs.

Les études récentes montrent que le PET recyclé (rPET) présente des enjeux spécifiques :

  • le procédé de recyclage peut concentrer certains contaminants,
  • les bouteilles contenant 50–100 % d’rPET libèrent jusqu’à 3 fois plus de microplastiques que les bouteilles en PET vierge,
  • des travaux publiés dans le Journal of Hazardous Materials indiquent une migration plus élevée d’antimoine et de bisphénol A dans les bouteilles en rPET que dans celles en PET vierge.

Stockage et chaleur : la face cachée de l’eau en bouteille

Un autre aspect non-maîtrisé  : nous ne maîtrisons pas les conditions de stockage des bouteilles :

  • hangars surchauffés l’été,
  • palettes exposées au soleil,
  • conteneurs sans ventilation,
  • températures extrêmes lors du transport.

Or, la chaleur accélère fortement la migration de composés chimiques (antimoine, acétaldéhyde) et de microplastiques.

Or, plusieurs études montrent que :

  • une température élevée et un temps de stockage prolongé augmentent la migration de l’antimoine et d’autres composés depuis les bouteilles PET vers l’eau,
  • davantage encore lorsque les bouteilles sont exposées à la chaleur lors du transport ou dans des entrepôts non climatisés.

En pratique, cela signifie que l’eau en bouteille que vous buvez n’a peut-être plus grand-chose à voir avec l’eau analysée au moment du contrôle qualité initial.


Une pression croissante sur les nappes phréatiques et le climat

L’impact de l’eau en bouteille ne se limite pas à la santé individuelle.

À l’échelle mondiale, plus d’un million de bouteilles en plastique sont achetées chaque minute, principalement pour de l’eau.

Derrière chaque bouteille se cache une ressource prélevée dans les nappes phréatiques.
Lorsque plusieurs marques exploitent une même région, la pression hydrique augmente. Dans certaines régions d’Italie et de France, les hydrogéologues observent  une baisse du niveau des nappes de 30 à 60 cm par an,
Autrement dit, le modèle de l’eau embouteillée n’est pas durable.

Et cela avant même d’aborder le transport…

Certaines eaux minérales voyagent 1 000 km, 2 000 km, parfois bien plus, avant d’arriver sur votre table, augmentant l’empreinte carbone, des risques accrus lors des transports (vibrations, chocs, chaleur …)

Les travaux de modélisation montrent que la consommation de plastique pourrait presque doubler d’ici 2050, si nous ne changeons pas de modèle.

Réutiliser les bouteilles : un réflexe courant… mais risqué

Par souci d’économie ou d’écologie, beaucoup de personnes réutilisent leurs bouteilles en plastique. Mais cela n’est pas sans risque. 

  • le PET est conçu pour un usage unique,
  • à chaque compression, lavage approximatif ou choc thermique, la surface interne se micro-fissure,
  • ce qui favorise à la fois le relargage de microplastiques et le développement bactérien.

Et les déchets plastiques à usage unique ?

Même dans les pays les mieux organisés, le recyclage ne suit pas le rythme :

  • seule une fraction des bouteilles est réellement recyclée,
  • le reste finit en décharge, en incinération ou se fragmente en microplastiques dans l’environnement
  • entre un et deux millions de tonnes de plastiques entrent dans les océans chaque année.

Chaque bouteille d’eau en plastique utilisée pour quelques minutes peut ainsi persister des décennies, voire se transformer en particules qui finiront… dans notre chaîne alimentaire.

 

Alors, que faire ? Quelle est la meilleure solution pour notre santé ? 

Face à ces constats, la logique change. Boire de l’eau en bouteille en plastique n’est plus une garantie de qualité, c’est un compromis — parfois défavorable — entre perception de pureté, exposition aux microplastiques et impact environnemental.

Une alternative plus cohérente consiste à :

  1. Partir de l’eau du robinet, déjà contrôlée et disponible localement.
  2. La purifier finement, pour éliminer les contaminants résiduels (PFAS, microplastiques, résidus pharmaceutiques…).
  3. La stocker dans un contenant pérenne (verre, inox) plutôt que dans du plastique à usage unique.

C’est précisément dans cette logique que s’inscrit Sküma Water.

  • Une triple filtration inspirée du médical, incluant l’osmose inverse à 0,0001 micron, capable d’éliminer jusqu’à 99,9 % des contaminants invisibles (microplastiques, PFAS, nitrates, résidus médicamenteux, métaux lourds).

  • Des performances testées en 2025 par un laboratoire indépendant accrédité COFRAC, avec plus de 230 molécules analysées et 99,99 % d’élimination des contaminants détectés.

  • Une eau ensuite reminéralisée intelligemment grâce aux profils MY™ Bases (calcium, magnésium, potassium), pour une hydratation réellement fonctionnelle et adaptée au corps.

Et sur les microplastiques, les résultats sont également sans appel. Dans le cadre d'une étude, nous avons intégré 316 microplastiques dans de l'eau. Après filtration avec la technologie Sküma, 98.1% des microplastiques ont été éliminés. 

L'ingestion de microplastiques a des effets particulièrement délétères sur notre santé : des inflammations, des perturbations hormonales et des effets potentiels à long terme sur les systèmes digestif et immunitaire. Leur persistance dans l’environnement et leurs effets cumulés encore mal connus font de ces polluants une source de préoccupation majeure. Dr Christian Boyer alerte d'ailleurs particulièrement sur leurs effets sur notre microbiote.

Bien choisir son eau et son contenant sont donc des gestes clés dans la prise en main de sa santé globale.

Sküma MyStation, c'est donc en pratique :

  • plus de bouteilles en plastique à transporter ou à stocker,
  • une réduction drastique de l’exposition aux microplastiques par rapport à l’eau en bouteille,
  • une eau filtrée, reminéralisée, disponible à volonté… directement chez soi.

 

Article précédent