Notre protocole d'hydratation optimisée en 3 étapes validé scientifiquement.

Les métaux lourds présents dans l'eau du robinet, tels que le plomb, l'arsenic, le mercure et le cadmium, proviennent souvent de la corrosion des canalisations, des eaux de ruissellement industrielles, des activités minières ou de la vétusté des infrastructures municipales. Ces contaminants peuvent s'infiltrer dans le réseau d'eau potable par suite de canalisations vétustes ou d'une protection environnementale défaillante. Une exposition prolongée aux métaux lourds, même à de faibles concentrations, peut présenter de graves risques pour la santé : ces polluants affectent le système nerveux, les reins et le foie, et peuvent augmenter le risque de cancer ou de troubles du développement chez l'enfant. Inodores et insipides, ces métaux passent souvent inaperçus sans analyse ni filtration appropriées.

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Les PFAS, ou substances per- et polyfluoroalkylées, sont des substances synthétiques dites « produits chimiques éternels », largement utilisées dans des produits industriels et de consommation tels que les revêtements antiadhésifs des ustensiles de cuisine, les tissus imperméables et les mousses extinctrices. Extrêmement résistants à la dégradation, ces produits chimiques persistent dans l'environnement, ​​et le corps humain, durant des décennies. Les PFAS pénètrent souvent dans les réseaux d'eau potable par le biais des rejets industriels, du ruissellement des décharges et des sols contaminés. Le lien entre une exposition prolongée et de graves risques pour la santé a été établi, notamment une immunosuppression, des perturbations hormonales, des lésions hépatiques, un taux de cholestérol élevé et un risque accru de cancers, en particulier du rein et des testicules. En raison de leur grande stabilité, les PFAS sont notoirement difficiles à filtrer par les méthodes conventionnelles de traitement de l'eau. Leur présence croissante dans l'eau potable suscite une inquiétude mondiale, les organismes de réglementation s'efforçant désormais de fixer des limites plus strictes et d'éliminer ces toxines des réseaux publics d'eau.

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Les microplastiques présents dans l'eau du robinet sont de minuscules particules de plastique, souvent inférieures à 5 millimètres, issues de la décomposition de déchets plastiques plus volumineux, de textiles synthétiques et de produits de soins cosmétiques. Ces particules peuvent pénétrer dans les réseaux d'eau par le biais des rejets d'eaux usées, du ruissellement des eaux pluviales et de la vétusté des infrastructures en plastique. En raison de leur petite taille et de leur présence généralisée, les microplastiques sont difficiles à détecter et à éliminer par les méthodes conventionnelles de traitement de l'eau. Des études suggèrent que l'ingestion de microplastiques peut entraîner des inflammations, des perturbations hormonales et des effets potentiels à long terme sur les systèmes digestif et immunitaire. Leur persistance dans l’environnement et leurs effets cumulés encore mal connus font de ces polluants une source de préoccupation grandissante pour la santé humaine et la protection de l'environnement.

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Les pesticides, notamment les herbicides, les insecticides et les fongicides, se retrouvent fréquemment dans l'eau du robinet par le ruissellement agricole, l'infiltration des eaux de pluie et une élimination inadéquate. Conçus pour perturber les systèmes biologiques, ces produits chimiques ne ciblent pas seulement les nuisibles ; ils peuvent également affecter la santé humaine en cas d'ingestion régulière. Une exposition prolongée aux résidus de pesticides dans l'eau potable a été associée à divers problèmes de santé, notamment des perturbations hormonales, des troubles de la reproduction, des retards de développement chez l'enfant et un risque accru de certains cancers, comme la leucémie et le lymphome. Certains pesticides, comme l'atrazine et le glyphosate, sont particulièrement persistants dans l'environnement et résistants aux procédés conventionnels de traitement de l'eau. Leur présence dans l'eau du robinet est source de préoccupation croissante, notamment dans les régions agricoles ayant un recours constant et soutenu à ces produits chimiques, ce qui souligne la nécessité d'une filtration avancée pour garantir la sécurité de l'eau potable.

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Le fluorure est volontairement ajouté à de nombreuses eaux municipales pour réduire les caries dentaires, mais sa présence dans l'eau du robinet reste controversée. Une exposition prolongée au fluorure, même à des niveaux considérés comme sûrs selon certaines normes, a été associée à divers problèmes de santé. Parmi ceux-ci figurent la fluorose dentaire, qui provoque des taches visibles et des lésions de l'émail des dents, ainsi que la fluorose osseuse, une affection invalidante qui affecte les os et les articulations. De nouvelles recherches soulignent également des liens potentiels entre la consommation chronique de fluorure et les dysfonctionnements de la thyroïde, une baisse du QI chez l'enfant et une perturbation des fonctions neurologiques et hormonales clés. Le fluorure étant incolore, insipide et difficilement éliminé par filtration standard, son accumulation passe souvent inaperçue, suscitant des inquiétudes croissantes quant aux risques sanitaires à long terme associés à une consommation continue.

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Les contaminants hormonaux présents dans l'eau du robinet, notamment les œstrogènes synthétiques et naturels comme le 17β-estradiol, suscitent une préoccupation croissante en raison de leur puissante activité biologique, même à des concentrations extrêmement faibles. Ces composés pénètrent souvent dans le réseau d'eau potable par l'intermédiaire des déchets pharmaceutiques, des excrétions humaines et des eaux de ruissellement agricoles contenant des hormones animales. Le 17β-estradiol, une forme puissante d'œstrogène, peut perturber le système endocrinien, interférant avec la régulation hormonale, le développement reproductif et la fertilité, tant chez l'homme que parmi la vie aquatique. Des études ont montré que l'exposition à des traces de cette hormone peut entraîner une féminisation chez les poissons et contribuer à une puberté précoce, à une diminution du nombre de spermatozoïdes et à des cancers hormono-dépendants chez l'homme. Les stations d'épuration municipales classiques ne sont pas équipées pour éliminer totalement ces contaminants, ce qui rend une filtration avancée indispensable pour éviter une exposition prolongée.

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Les composés organiques volatils (COV) sont un groupe de substances chimiques à base de carbone qui s'évaporent facilement dans l'air et peuvent contaminer l'eau du robinet par le ruissellement industriel, les produits chimiques agricoles, le lessivage des décharges ou des réseaux de canalisations obsolètes. Parmi les COV courants présents dans l'eau, on trouve le benzène, le chloroforme et le trichloréthylène, dont beaucoup sont classés comme cancérigènes ou toxiques pour le foie, les reins et le système nerveux. Ces composés peuvent pénétrer dans les réserves d'eau par divers moyens, des déversements de carburant aux produits ménagers et aux produits chimiques de nettoyage à sec. Une exposition prolongée, même à de faibles concentrations, a été associée à un risque accru de cancer, à une déficience du système immunitaire et à des problèmes de développement. Les COV étant résistants aux méthodes conventionnelles de traitement de l'eau et souvent indétectables au goût ou à l'odeur, une filtration avancée est essentielle pour réduire l'exposition et protéger la santé à long terme.

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Le chlore et d'autres désinfectants sont largement utilisés dans les réseaux d'eau municipaux pour éliminer les agents pathogènes, mais leur utilisation a un coût caché : les sous-produits de désinfection (SPD). Lorsque le chlore réagit avec la matière organique naturellement présente dans l'eau, il forme des composés toxiques tels que les trihalométhanes (THM) et les acides haloacétiques (AHA). Une exposition prolongée à ces SPD a été associée à de graves risques pour la santé, notamment le cancer de la vessie, des complications liées à la reproduction, des troubles du développement chez l'enfant et des lésions hépatiques ou rénales. Le chlore lui-même peut également provoquer des irritations cutanées, des problèmes respiratoires et perturber l'équilibre du microbiome intestinal. Bien que ces produits chimiques jouent un rôle essentiel dans la salubrité microbiologique de l'eau, leur présence dans l'eau potable met en évidence un compromis difficile : purifier l'eau tout en introduisant de nouveaux risques. Une filtration avancée est essentielle pour éliminer le chlore et ses sous-produits nocifs, offrant ainsi une approche plus sûre et plus équilibrée de l'hydratation.

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