Depuis de nombreuses semaines, les médias s'emparent d'un sujet qui nous concerne tous : la qualité de l'eau du robinet et son impact sur notre santé. Mais au-delà des risques immédiats, une dimension essentielle émerge de la recherche scientifique : l'effet des micropolluants sur notre microbiote intestinal, cet écosystème microbien dont dépend une grande partie de notre immunité et de notre équilibre hormonal.
Ce que révèlent les données officielles
PFAS (les "polluants éternels"), microplastiques, métaux lourds, résidus pharmaceutiques, pesticides et leurs métabolites, composés organo-volatils, perchlorates… Des traces infimes issues de l'agriculture, de l'industrie, ou de nos usages quotidiens, dont l'impact sur la santé commence à être documenté et prouvé.
Générations Futures et Data For Good ont collecté l'ensemble des données officielles dans une carte interactive actualisée dès que de nouveaux résultats sont disponibles. Ces données confirment que même "potable", l'eau du robinet peut contenir des contaminants invisibles, imperceptibles à l'œil nu, mais bien réels.
Une eau "potable" n'est pas toujours une eau favorable au microbiote
En Europe, les autorités sanitaires fixent des seuils précis pour garantir la potabilité de l'eau. Ces normes assurent que l'eau distribuée ne présente pas de risque immédiat pour la santé, mais elles ne garantissent ni sa pureté absolue, ni son innocuité à long terme — notamment sur notre flore intestinale.
Chaque année, plusieurs milliers de prélèvements montrent que l'eau du robinet peut contenir, même à l'état de trace, plusieurs centaines de substances chimiques différentes. Parmi elles :
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des nitrates issus de l'agriculture intensive,
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des résidus médicamenteux (hormones, antibiotiques, anti-inflammatoires),
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des PFAS, ces "polluants éternels" qui s'accumulent dans les organismes,
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des microplastiques, désormais détectés dans plus de 90 % des échantillons en Europe,
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des métaux lourds (plomb, cuivre, mercure), libérés par des canalisations anciennes,
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et des pesticides et leurs métabolites, dont certains dépassent régulièrement les valeurs de référence.
Ces polluants sont souvent présents en quantités infimes, bien en dessous des seuils réglementaires. Pourtant, les scientifiques mettent en évidence un risque d'exposition chronique cumulée, avec un impact direct sur notre écosystème intestinal : à force de s'accumuler dans l'organisme, ces substances peuvent altérer la diversité du microbiote, perturber le système endocrinien, affecter le foie, ou altérer les défenses immunitaires.
Leur impact ne réside donc pas dans la dose isolée, mais dans la répétition quotidienne.
L'alerte d'un expert : microbiote, hormones et polluants persistants
Dr. Christian Boyer, Diététicien-Nutritionniste de formation, Docteur en Biologie de la Santé, consultant, conférencier et formateur dans le domaine de la santé :
« L'exposition humaine à certains composés tels que les microplastiques exercent un impact négatif sur le microbiote intestinal. Ces particules, notamment présentes dans l'eau du robinet, peuvent réduire la diversité microbienne, favoriser la prolifération de bactéries potentiellement délétères et altérer directement l'intégrité de la muqueuse intestinale. Les effets d'une exposition chronique à ces substances restent encore insuffisamment évalués, mais pourraient avoir des répercussions durables sur la santé intestinale et systémique.
Parallèlement, les composés perfluorés et polyfluoroalkylés (PFAS) — connus pour leur persistance environnementale — sont clairement identifiés comme perturbateurs endocriniens chez l'humain et chez l'animal. Leur exposition est associée à une altération de la fonction thyroïdienne et à une diminution de la production d'hormones androgéniques, notamment la testostérone.
De même, plusieurs métaux lourds (tels que le mercure, le cadmium ou le plomb) peuvent modifier les niveaux d'hormones sexuelles et interférer avec le fonctionnement normal de la thyroïde.
De façon générale, la thyroïde apparaît comme l'un des organes les plus vulnérables aux polluants environnementaux persistants (PFAS, métaux lourds, pesticides, etc.), en raison de sa forte activité métabolique, de sa capacité de concentration en iode et de sa sensibilité au stress oxydatif et aux perturbations hormonales. »
Ce constat scientifique soulève une question essentielle : comment protéger notre microbiote et notre équilibre hormonal face à cette exposition chronique ?
La réponse : une filtration à l'échelle moléculaire pour préserver le microbiote
C'est dans ce contexte que Sküma Water a été récemment mise en avant sur plusieurs plateaux TV dont BFM Business, comme une réponse scientifique et concrète à cette problématique.
Son système combine trois étapes de purification inspirées du domaine médical :
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Préfiltration sédimentaire — retient les particules visibles (sable, rouille, calcaire).
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Charbon actif haute qualité issu de tissu de noix de coco — capture le chlore, les COV, les métaux lourds et certains pesticides et PFAS.
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Osmose inverse — une membrane de 0,0001 micron élimine jusqu'à 99,9 % des contaminants invisibles, dont les microplastiques, les résidus pharmaceutiques et les PFAS.
Une technologie de pointe pour produire une eau d'une pureté exceptionnelle, désormais accessible à la maison, et capable de protéger l'intégrité du microbiote intestinal.
Des résultats prouvés, une protection démontrée
En février 2025, le Super-Filtre Sküma a été testé et certifié par un laboratoire français indépendant accrédité COFRAC.
Des résultats inégalés :
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Plus de 230 molécules testées
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99,99 % d'élimination de l'ensemble des contaminants
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Dont 165 pesticides, 20 PFAS, 98 % des microplastiques, ainsi que les résidus médicamenteux et métaux lourds.
En éliminant ces substances, Sküma Water contribue à préserver la diversité microbienne et à réduire les perturbations endocriniennes liées à l'eau de consommation.
Après la purification : la reminéralisation pour soutenir la santé intestinale
Une eau parfaitement filtrée doit aussi être vivante et fonctionnelle, capable de soutenir l'hydratation cellulaire et l'équilibre du microbiote.
C'est pourquoi Sküma complète son procédé par une reminéralisation intelligente : les profils MY™ Bases réintroduisent calcium, magnésium et potassium, pour restaurer l'équilibre électrolytique et soutenir l'hydratation cellulaire — deux éléments clés pour un microbiote en bonne santé.
Protéger son microbiote commence par l'eau que l'on boit
Les normes garantissent la sécurité, mais pas la protection du microbiote. Face aux données scientifiques croissantes sur l'impact des micropolluants sur notre flore intestinale et notre équilibre hormonal, appliquer le principe de précaution pour notre hydratation semble essentiel.
Seule une filtration à l'échelle moléculaire, associée à une reminéralisation maîtrisée, permet d'obtenir une eau réellement saine, équilibrée et respectueuse de notre écosystème intestinal.
Avec sa technologie triple filtration et ses résultats certifiés, Sküma Water incarne une nouvelle génération de purification : celle qui relie science, transparence et protection durable du microbiote.
Pour aller plus loin :
Microplastics and human health: unveiling the gut microbiome disruption and chronic disease risks